Octobre 1910, la rentrée des classes. Pierre le casse cou et Alexandre le rêveur sont de bons élèves. Ce dernier est dans les premiers de la classe. Il admire son aîné, rieur, sportif et chahuteur. Mais plus tard, la vie de pension ne sera pas celle imaginée, tout au contraire "nous arrosions d'une larme furtive, en nous cachant, les lettres de nos mères."