En 1922, il est à Mayence, rédacteur à la Revue Rhénane, dirigée par Bernard Zimmer. Une revue "culturelle" destinée au rapprochement intellectuel franco-allemand. Il aime l'Allemagne romantique mais se dit vite excédé de la couleur locale dans "ce pays où, pour servir un café, on apporte trois plateaux, quatres soucoupes, trois cafetières, six tasses, douzes assiettes, dix cuillères..."